AUTRES PRODUCTIONS
L’agence, c’est aussi des enquêtes au long cours sur des sujets contemporains… Génocide en ex-Yougoslavie, corruption au sommet de l’état, enquête sur la justice en France, sur nos origines, les équipes travaillent sur tous les fronts… Plus de 200 documentaires et reportages ont déjà été réalisés pour les chaînes les plus prestigieuses…. Et l’histoire continue….
Mariages au bout du monde
Le monde merveilleux des Plumes
Il faut sauver les rhinocéros noirs
USA, le pays le plus dangereux du monde
Fiche technique :
Réalisation : Morad Aït-Habbouche
Diffuseurs : France 5
Durée : 90 minutes
Diffusion : Novembre 2015
Synopsis :
Tornades, séismes, éruptions volcaniques, le cinéma hollywoodien excelle sur le terrain des scénarios catastrophes. Dans la réalité, des scientifiques observent le climat, auscultent la terre, et fournissent des prévisions parfois plus pessimistes que les scénarios imaginés pour le cinéma. Sous les studios, à Los Angeles, la faille de San Andreas menace de se réveiller. D’autres cataclysmes pourraient survenir. Ce road-trip à travers les zones très exposées au changement climatique, interroge la position américaine face aux risques environnementaux, menace d’une toute autre nature que le terrorisme.
Fous de moulins
Fiche technique :
Réalisation : Morad Aït-Habbouche
Diffuseurs : TF1, magazine Reportages
Durée : 30 minutes
Diffusion : Avril 2016
Synopsis :
Les moulins connaissent une nouvelle vie ! Tombés dans l’oubli après la révolution industrielle, seuls 30 000 fonctionnent encore aujourd’hui. De plus en plus de passionnés tentent de leur donner une seconde vie, comme Catherine, Alain et Alix. Mais entretenir un moulin est souvent un sacerdoce.
7 jours, 7 nuits à Colmar
Fiche technique :
Réalisation : Thomas Raguet
Diffuseurs : TF1, magazine Reportages
Durée : 60 minutes
Diffusion : Avril 2016
Synopsis :
Du haut de sa collégiale, une cigogne pose sur elle un œil bienveillant. Colmar incarne cette Alsace immuable, un décor tout droit sorti d’un conte de Grimm entre Vosges et Rhin qui séduit près d’un million de touristes chaque année. Mais Colmar, ce sont aussi ses 70 000 habitants qui la font vivre, de la Petite-Venise, son centre historique, aux quartiers périphériques. Reportage a suivi cinq d’entre eux pendant 7 jours et 7 nuits au cœur de leur vie.
4 saisons à Saint-Pétersbourg
Fiche technique :
Réalisation : Morad Aït-Habbouche
Diffuseurs : TF1, magazine Reportages
Durée : 60 minutes
Diffusion : Janvier 2016
Synopsis :
Saint-Pétersbourg, la cité des tsars : Nous vous emmenons dans une des villes les plus chargées d’histoire du monde. De novembre à mars, la ville est plongée dans l’obscurité. Des journées de quelques heures ! C’est le règne des nuits noires, quand le soleil disparaît prématurément du ciel pour napper la ville d’une mystérieuse obscurité. Thermomètre en dessous de zéro, la Néva se fige.A partir de mai, la ville se métamorphose et le soleil ne se couche plus. C’est l’heure des nuits blanches. La deuxième métropole de Russie semble vouloir rattraper le temps volé par l’hiver et les Saint-pétersbourgeois ne s’arrêtent plus. Activité économique à 200 à l’heure et festivités déchaînées partout.Trois passionnés nous offrent les clés de la ville-musée et de l’âme slave.
Nouvelle-Calédonie, les gardiens du lagon
Fiche technique :
Réalisation : Morad Aït-Habbouche et Thomas Raguet
Diffuseurs : France 3, magazine Thalassa
Durée : 110 minutes
Diffusion : Janvier 2015
Synopsis :
A 16 000 km de Paris, la Nouvelle-Calédonie offre bien plus que des paysages de cartes postales. Ce petit bout de France des antipodes recèle de véritables trésors. Depuis 2008, son lagon est inscrit au patrimoine mondial de l’humanité par l’Unesco. Cet écrin préservé regorge d’une nature foisonnante. Tortues, requins, dugongs, y vivent paisiblement le long de la deuxième plus longue barrière de corail au monde après celle d’Australie. Mais pour combien de temps encore ? Conscients de l’enjeu de préserver un tel héritage, des hommes et des femmes se battent pour que les générations futures puissent elles aussi s’émerveiller d’une telle biodiversité.
Le canal du Midi
Fiche technique :
Réalisation : Morad Aït-Habbouche
Diffuseurs : France 5
Durée : 52 minutes
Diffusion : Septembre 2014
Synopsis :
Plus ancienne voie d’eau européenne encore en activité, le canal du midi est considéré comme le plus grand chantier du 17eme siècle, après le château de Versailles…
Depuis Toulouse, le canal serpente à travers trois départements et des paysages exceptionnels. Si, chaque été, des milliers de personnes l’empruntent pour des vacances gourmandes et bucoliques, ils ne sont qu’une poignée à y vivre à l’année.
Une petite communauté, qui pour rien au monde ne voudrait vivre ailleurs, défend bec et ongles l’âme de ce canal royal, avec ses centaines d’ouvrages uniques et ses 45000 platanes et cyprès plantés le long des berges.
Pour ces hommes et ces femmes que nous avons rencontrés tout au long des 240 km du canal, il est hors de question que leur lieu de vie se transforme en musée à ciel ouvert, il doit rester vivant.
L’Europe est en baisse de forme ! Tous les jours, l’actualité évoque la situation financière catastrophique d’un état européen. Tous les jours, la presse se fait l’écho de nouvelles mesures d’austérité. Il n’est pas étonnant qu’une majorité des Français ait une vision négative du ‘vieux Continent’. Pour eux, il est synonyme de crise, d’endettement, de chômage ou encore de précarité. L’ambiance serait à la morosité. Pas pour tout le monde : certains savent que l’Europe a des atouts dont on peut tirer profit. Et ceux-là n’hésitent pas à prendre la route ou l’avion dans le but de faire des économies… Réalisation : Morad Aït-Habbouche « Les Puces, j’adore ! Ici je connais tous les marchands, je m’amuse, c’est comme une chasse au trésor ! » La chasse pour Edmondo consiste à dénicher des meubles anciens qu’il pourra restaurer et revendre à de riches clients. Cette fois-ci, il dispose de 500 000 euros et de 15 jours pour renouveler son stock. Tous les vendeurs connaissent cet antiquaire et son histoire incroyable. Adolescent, Edmondo chinait de vieux objets dans les poubelles de Brooklyn. Aujourd’hui il possède l’un des plus grands magasins d’antiquités des États-Unis… Le rêve américain. À 74 ans, Mauricette, elle, n’a pas tant d’ambition. Le sourire d’un client, content de trouver une paire de baskets à 6 euros, suffit à son bonheur. Chaussures, jeans, poussettes, elle récupère des objets abandonnés sur le trottoir et leur donne une seconde vie. Cette as du recyclage perpétue ainsi la longue histoire des Puces de Saint-Ouen. Ce sont, comme elle, des biffins, ces chiffonniers qui revendaient de vieux tissus et de petits objets trouvés dans les poubelles, qui ont créé les Puces, en marge de la capitale, à la fin du XIXème siècle. Depuis ce temps, de belles histoires sont nées comme celle de la famille Malik qui habite encore les Puces, ou celle de la famille Glustin, 4 générations d’antiquaires, aujourd’hui à la tête d’une boutique aux airs de château de Versailles. Les Puces, c’est un air de jazz manouche qui s’échappe d’un bar, c’est un village dans la ville où tout le monde se connaît.C’est un kaléidoscope de personnalités fortes et d’univers contrastés qui attirent chaque année à Saint-Ouen, deux fois plus de visiteurs qu’à la tour Eiffel. Réalisation : Baya Bellanger L’autre pays des roses Mesdames, vous êtes-vous déjà demandé d’où venaient les sublimes roses qui vous sont offertes pour la Saint-Valentin ? C’est en Equateur qu’est installé Arnaud, l’homme qui décèle les nouvelles tendances du marché… Pour enfin trouver LA rose parfaite, il sillonne les allées des serres installées au pied du volcan Cotopaxi, traversant des haies de roses aux tiges longues de près d’un mètre… Vulcania en Equateur Une sirène retentit. Le Tungurahua entre en éruption. Alerte rouge. Par groupe ou seuls, les habitants se dirigent à l’extérieur de Baños. Le danger est réel, et Don Carlito, militaire à la retraite, le sait bien. Il a construit sa cabane dans un arbre, pour lui permettre d’avoir toujours à l’œil le Tungurahua… Ce volcan a déjà provoqué la mort de six personnes en 2006, et Baños, situé en contrebas, continue de se préparer : 15 000 personnes doivent être évacuées le plus vite possible. Ce n’est qu’un nouvel exercice. Los Chagras, cowboys des Andes Haute montagne, chevaux, lassos, vaches et taureaux… Tout ce qui fait le bonheur des Chagras, les cow-boys des Andes. Ils chevauchent sans répit les montagnes pour surveiller, de loin, le bétail laissé en liberté par Jorge, propriétaire de l’hacienda del Tambo. Jorge les attend aujourd’hui pour un rodéo de trois jours où une dizaine de Chagras se retrouvera pour élaborer une stratégie afin de rassembler les bêtes éparpillées dans toute la Sierra, pour ensuite s’occuper d’elles à la ferme… Cochons d’Inde, mets d’Equateur En France, le cochon d’Inde est l’ami des enfants. En Equateur, il est l’ami des cuisiniers et des chamanes… Longtemps une des seules sources de protéines disponibles pour les habitants des Andes, il représente désormais un plat de fête incontournable pour tous les moments importants de la vie. Mais c’est aussi grâce à lui que les chamanes peuvent établir leur diagnostic et proposer un traitement à leurs patients malades… Réalisation : Morad Aït-Habbouche et Pierre Belet Le train des nuages Le train des nuages, un nom poétique pour un train qui emmène, trois fois par semaine, des centaines de voyageurs flirter avec les sommets enneigés de la Cordillère. En fin de parcours il atteint l’un des plus beaux chefs d’œuvre d’Argentine, le viaduc de la Polvorilla. Entre désert de sel et hautes montagnes, les passagers repartent de ce voyage avec des souvenirs inoubliables… et une méthode imparable et surprenante contre la Puna, le mal des montagnes… « Ecole du cri » En Argentine, le football est une religion. Mais que seraient les Maradona, Messi, sans leurs apôtres, ces journalistes sportifs qui, à longueur de matches, leur chantent des louanges. Que seraient-ils, si Victor Hugo Morales ou Leonardo Gentile n’avaient pas donné de leur voix pour raconter, à leurs auditeurs, ces exploits lors des plus grandes compétitions. Gooooolllllll !! A Buenos Aires, il y a une école qui promet la relève, c’est l’école du cri. Réalisation : Morad Aït-Habbouche Fascinant par sa taille, le Baobab peut mesurer plus de 20 mètres ! Un colosse qui a élu domicile sur les terres rouges de l’île de Madagascar. D’ailleurs, c’est le seul endroit au monde où l’on trouve 6 des 8 espèces qui existent sur la planète. Pourtant, malgré sa masse imposante « l’arbre de mille ans » est aujourd’hui menacé. Fragile et méconnu, les activités de l’homme et les transformations de son écosystème mettent en péril le géant des forêts. Pour percer leurs secrets, Pascal D’Anthu et son équipe franco-malgache partiront au Nord de l’île à la rencontre du Baobab. Cette « mission Baobabs» unique en son genre, les conduira vers des spécimens incroyables. Certains d’entre eux n’ont même jamais été observés. Généticiens, entomologistes, biologistes, anthropologues et techniciens de laboratoire s’allieront pour tenter d’élucider les mystères de « l’arbre aux milles surprises ». Réalisation : Morad Aït-Habbouche Réalisation : Morad Aït-Habbouche Le tromba, un culte de possession Elle n’a lieu qu’à la lune montante, dans le plus grand secret. Une cérémonie où les esprits des ancêtres royaux de la grande tribu des Sakalava sont invoqués par les vivants. Car à Madagascar et à fortiori sur la côte ouest de l’île rouge, les ancêtres sont honorés, vénérés comme des dieux. L’avenir se lit dans le passé, alors avant de prendre une décision importante, se marier, accepter un travail, construire sa maison… les fidèles consultent leurs morts. Tout un rituel doit alors être respecté et c’est par l’intermédiaire d’un medium saha, une femme le plus souvent, que les esprits s’expriment. Une cérémonie de transes interdite aux non-initiés… C’est grâce au père Jaovelo-Zao, prètre catholique au diocèse de Diego-Suarez, que nous avons rencontré Nette, une medium réputée. Ainsi, pour la première fois, des « vasaha » -des Blancs- ont pu assister à une cérémonie de tromba et filmer cet univers interlope, mystique, où les femmes se changent en hommes le temps d’une nuit… Les Mikeas, petits hommes de la forêt Disparus, décimés, fantasmés, c’est l’un des peuples les plus secrets de l’île rouge… On dit d’eux qu’ils n’auraient jamais vu un « vasah » – un blanc – depuis l’époque coloniale, qu’ils se cacheraient, de peur d’être persécutés, dans la forêt sèche au nord de Tuléar, loin de la mer qu’ils redoutent… On dit aussi qu’ils survivraient sans eau dans un environnement aride et hostile, que leur taille serait incroyablement petite… Sur les Mikéa, il s’en raconte des histoires. De fausses et de vraies mais rares sont ceux qui les ont vraiment rencontrés. Pour percer le mystère de ce peuple méconnu et fascinant, nous sommes partis à sa recherche. Guidés dans notre quête par Théo, un enfant du pays. Jeune chanteur talentueux, il a accepté de nous emmener sur cette terre où les routes et les frontières sont invisibles à l’étranger, pour tordre le cou aux idées reçues. Rencontre avec les Mikéas. Sur les traces de l’arbre aux mille surprises C’est un arbre étonnant. Un arbre emblématique de Madagascar où six espèces sur huit, pour l’ensemble de la planète, sont endémiques. Une légende raconte qu’il a été replanté à l’envers par le créateur pour le punir de s’être montré trop capricieux. Mais aujourd’hui, ces arbres sacrés à Madagascar pourraient être victimes d’une autre punition, aux conséquences plus graves : les activités humaines et la transformation de leur écosystème menacent de disparition ces géants millénaires. Fragiles, mal connus car peu étudiés, les baobabs font, depuis quelques années seulement, l’objet de missions scientifiques pour tenter de mettre en place un plan de conservation. Nous suivons l’expédition franco-malgache dirigée par Pascal Danthu, chercheur du Cirad, un centre de recherches agronomiques… C’est la troisième mission de ce genre qu’il organise… Une vingtaine de personnes va sillonner le Nord du pays avec un crédo, mieux les connaitre pour mieux les préserver. Le baobab, symbole de la grande île nous en apprend plus que n’importe quel autre arbre malgache… Réalisation : Laila Agorram et Morad Aït-Habbouche Les coupeurs de têtes de la Cordillière Au milieu des splendides rizières en terrasse de la Cordillière, au nord de l’île de Luçon, vivent les Igorots, « le peuple des montagnes ». Ici, on continue à être fier des ancêtres, réputés pour être de valeureux guerriers… coupeurs de têtes. Qu’il s’agisse de celles des tribus ennemies ou de celles des envahisseurs japonais ! L’un des derniers survivants de cette lignée de coupeurs de têtes, témoin d’une époque bientôt révolue, nous livre quelques souvenirs de son glorieux passé. Une école dans un pousse-pousse Parce qu’il a grandi près d’un bidonville de Cavite City, la banlieue de Manille, le charismatique Efren Penaflorida, 29 ans, sait mieux que quiconque que l’avenir des enfants pauvres passe par l’éducation. Constatant que les enfants des rues ne vont pas à l’école, il décide que ce sera l’école qui ira à eux. Il créée ainsi une sorte d’école en pousse-pousse il y a une dizaine d’années, enrôlant à ses côtés des jeunes de son âge pour aller instruire ceux qui en ont besoin. Munis de charrettes à bras, de livres, de cahiers, de crayons, les « professeurs » de la Dynamic Teen Company sillonnent la ville et se rendent dans les coins les plus déshérités, là où personne ne s’aventure jamais… Grâce à cette drôle d’école ambulante, Laïlani, une jeune adolescente qui a grandi entre une décharge sauvage et un cimetière, a trouvé le goût d’apprendre. Réalisation : Laila Agorram et Morad Aït-Habbouche « On ira tous au paradis »… A l’époque où il écrit cette chanson, Michel Polnareff est loin d’imaginer que son paradis serait fiscal… Qu’il devra fuir le fisc français pour éviter de payer ses impôts… Depuis, ils sont nombreux ces riches contribuables français à s’exiler et à vivre, en toute légalité, dans un paradis fiscal… La Suisse n’est plus la seule destination rêvée… La Belgique, le Luxembourg, l’île Maurice et plus surprenant encore, la Lettonie sont les nouveaux eldorados… En l’absence de politique fiscale européenne, ces pays font tout pour attirer ces français, assujettis à l’ISF, l’impôt sur la fortune… L’exilé fiscal ne risque rien si ce n’est de se couper de son environnement amical et professionnel… Réalisation : Morad Aït-Habbouche La Brigade des Sapeurs Pompiers de Paris vient tout juste de fêter ses 200 ans. C’est le plus vieux corps de pompiers professionnels au monde et c’était une idée de Napoléon Ier. En juillet 1811, il assiste à un bal dans un hôtel particulier de la capitale, un feu éclate et tue des convives. L’empereur en réchappe et prend conscience de l’urgence d’organiser la sécurité Une histoire insolite pour une unité qui compte aujourd’hui 8500 hommes et femmes répartis dans 77 centres de secours sur Paris et sa région, et Kourou en Guyane. Une histoire méconnue qui est l’occasion d’un voyage surprenant au cœur de la Brigade… comme l’unité cynotechnique, une quinzaine de spécialistes et autant de chiens, sous les ordres d’Hervé Rolland. Ils recherchent les victimes lors d’effondrement de bâtiments ou lors de catastrophes naturelles. On les appelle également quand il faut capturer un NAC, un nouvel animal de compagnie autrement dit, un serpent, une mygale ou pourquoi pas un crocodile ! Autre unité insolite des pompiers de Paris : le GREP. Avec eux, c’est Paris vu d’en haut et vu d’en bas, autrement dit, ils interviennent sur les hauteurs (immeubles, ponts) et dans les profondeurs. Le Chef Tardieu lui organise régulièrement des entrainements dans les catacombes car chaque année, des dizaines de parisiens s’y perdent et il faut les retrouver. Paris aquatique ensuite avec le lieutenant Barriga, 34 ans, dont 14 passés en service. Il dirige les hommes grenouilles de la Brigade installés près du Pont Neuf et à Gennevilliers. Leur secteur, c’est la Seine. Et pour les entrainements, c’est l’Opéra, en sous sol dans une immense réserve d’eau de 12 000 m3, un lieu idéal confiné et sans clarté qui simule parfaitement les interventions sous l’eau. Les Pompiers de Paris enfin, mais très loin… à Kourou, en Guyane, avec le Capitaine Adenot. Il commande depuis trois ans les 88 hommes qui assurent la sécurité incendie du pas de tir d’Arianespace. Alerte maximale juste avant un tir et après le lancement. Ils doivent sécuriser la zone et vérifier qu’après chaque tir il n’y a plus aucun danger pour les ingénieurs qui vont préparer les prochains tirs. Et entre deux départs, c’est entrainement quotidien…mais sous les tropiques ! Réalisation : Morad Aït-Habbouche Un cyclone l’a amené ici… Un coup de foudre l’a fait rester. Yorick Houdayer, 52 ans, est un architecte français. Il y a 16 ans, il débarque sur Ilha de Moçambique. Cette île d’à peine deux kilomètres carrés, au nord du Mozambique, vient d’être frappé par un cyclone. Une chapelle et l’ancien fort portugais sont touchés. Il va les restaurer. Frappé par la beauté des lieux et celle d’une locale, Nina, devenue sa femme, Yorick ne va jamais repartir. Depuis, ce normand vit et travaille entre deux mondes. D’un coté, un village de 15 000 habitants vivant principalement de la pêche et pauvres, à l’image du reste du pays. De l’autre, des villas, des palais, des églises du 17ème et du 18ème Siècles hérités de l’ancienne puissance coloniale… le Portugal. Une architecture baroque qui vaut à l’île d’être le seul site mozambicain classé à l’UNESCO. Un patrimoine magnifique mais menacé. Car aujourd’hui, la plupart des édifices tombent en ruine et personne n’a les moyens de les restaurer. Yorick, lui, se bat pour protéger ces constructions. Dès qu’il le peut, il fait aussi travailler des équipes locales et à des salaires décents. Du coup, les gens de l’île l’appelle l’Ami Cadeau, un joli surnom pour ce français qui à sa façon veut rapprocher deux continents, l’Europe et l’Afrique… deux histoires. Réalisation : Morad Aït-Habbouche Collectionneurs de chaussures, de trains électriques, de livres, de timbres ou de disques, ils ne semblent jamais vouloir mettre de limite à leur passion. Tous entretiennent avec l’objet collectionné une relation irrationnelle. Ainsi, Michel Pont, viticulteur, a recherché sa vie durant toutes sortes d’engins à moteur. Dans son château en plein coeur de la Bourgogne, il expose de nombreux véhicules, motos ou automobiles. Louis Fanchini est l’un des plus importants collectionneurs de timbres. Une passion qu’il entretient depuis son enfance. Muriel Berlingui aime les chaussures. Dans sa maison, un ancien prieuré de l’Yonne, cette commissaire-priseur aligne des centaines de paires. Réalisation : Morad Aït-Habbouche Le Chili s’étend du nord au sud de l’Amérique latine sur près de 4 300 kilomètres. Ce pays très contrasté offre à ses habitants des paysages d’une grande diversité. Pourtant, ce territoire est encore aujourd’hui méconnu des 17 millions de Chiliens regroupés dans les grandes villes, dont le tiers à Santiago, la capitale. C’est pourquoi, depuis vingt ans, Guy Wenborne parcourt son pays natal, appareil photo à la main. On le surnomme les « yeux du Chili ». Cette fois, il part à l’assaut de la région des lacs, au nord de la Patagonie, pour découvrir la « minga de tiradura de casa », une tradition chilienne en voie de disparition. Réalisation : Morad Aït-Habbouche Il y a moins de 80 000 ans, Neandertal et Homo-Sapiens, notre ancêtre direct, n’ont pas seulement cohabité. Ils ont eu des relations, au sens biblique du terme. Serait-ce là une autre version de « la belle et la bête ». Sûrement… Grâce à l’Institut Max Planck de Leipzig, en Allemagne, nous savons que cette romance préhistorique est crédible. Le décryptage de près de 60% du génome de Neandertal montre que nous avons du Neandertal en nous… Il nous aurait légué jusqu’à 4% de ses gènes… Cette découverte est une petite surprise pour les spécialistes de cette période et une énorme révélation pour le grand public… Neandertal, qui a été longtemps décrit comme un personnage simiesque, marchant à 4 pattes, s’est rattrapé depuis… Les meilleurs experts sont désormais unanimes pour le réhabiliter… C’est cette fabuleuse aventure que nous racontons dans ce docu-fiction qui s’inspire de la belle histoire d’amour du film événement de Jacques Malaterre, « Aô, le dernier Neandertal »… Une enquête menée avec les plus grands experts européens de l’homme de Neandertal… Réalisation : Morad Aït-Habbouche Patrick Dils a aujourd’hui 40 ans. Condamné à perpétuité pour l’assassinat de deux enfants à Montigny les Metz en 1986, il a passé quinze ans en prison avant d’être acquitté en 2002. Aujourd’hui, par tous les temps, Patrick Dils effectue à pied les 3,5 kms qui le séparent de son travail. Il s’est acheté une maison en Franche Comté, a enregistré un disque, crée une association d’aide aux enfants en difficulté et donne des conférences pour raconter une énième fois son histoire hors du commun. Placé en détention à l’âge de 16 ans et après avoir vécu trois procès, Patrick Dils dit vivre sans rancune. Sa mère n’a pas déménagé de Montigny les Metz et habite toujours face au talus de la voie ferrée où ont été découverts les corps d’Alexandre et Cyril, huit ans tous deux, tués sauvagement à coups de pierre. Le tueur en série Francis Heaulme, dont la présence à Montigny les Metz le jour du crime est avérée, a bénéficié d’un non lieu dans cette affaire. Vingt quatre ans après les faits, le double assassinat reste non élucidé. Réalisation : Morad Aït-Habbouche « Un enfant si je peux » nous explique que chaque année en France, ce sont plus de 20 000 nouveau-nés qui voient le jour grâce à l’assistance médicale à la procréation (ou AMP). Ces techniques ont transformé la vie de nombreux couples même si ces naissances sont le résultat d’un long parcours, parfois douloureux… Pour comprendre nous suivrons 2 couples. Nous sommes dans la région parisienne. Zuina a 44 ans, Julien, 25 ans… 19 ans d’écart mais cette grande différence d’âge n’a jamais été un obstacle à leur amour. Dès leur rencontre, ils ont déjà la certitude qu’ils vont fonder une famille, et avoir deux ou trois enfants… Mais Zuina a peut-être trop attendu son prince charmant… A quelques centaines de kilomètres de là, Sandrine sera dans quelques temps, si tout se déroule comme prévu, à la tête d’une famille nombreuse. Aujourd’hui, cette jeune femme de 29 ans prend son mal en patience dans le service des grossesses pathologiques de Poitiers. Sandrine et David attendent des triplés … Sandrine doit rester alitée jusqu’à l’accouchement…Un petit miracle pour cette femme, qui, apprend à 16 ans qu’elle aura bien des difficultés pour porter un enfant… Réalisation : Morad Aït-Habbouche Morad Aït-Habbouche a filmé le pèlerinage à La Mecque à un moment charnière de son histoire. Ces lieux saints, face à l’afflux toujours croissant de fidèles, sont devenus l’objet d’investissements faramineux. Une nouvelle manne économique qui bientôt supplantera l’or noir. Chaque année, ils sont des millions de musulmans venus du monde entier, de toutes conditions et de tous âges à envahir la route qui mène à la ville sainte. Ils font le hadj, un des cinq piliers de l’islam. Le pèlerinage, composé de quatre étapes, ne dure que cinq jours, mais constitue un moment important dans l’économie saoudienne. En 2006, il a rapporté plus de 5 milliards d’euros. Et ce n’est qu’un début. D’ici à 2050, la population musulmane devrait passer de 1,3 à 2,5 milliards de personnes. L’Arabie saoudite l’a bien compris. Le documentaire suit donc cet impressionnant phénomène religieux et économique. Réalisation : Morad Aït-Habbouche « On nous dit que l’équipe de France est adorée par tous parce qu’elle est «black blanc beur », en fait, aujourd’hui, elle est black black black, ce qui fait ricaner toute l’Europe ». Alain Finkielkraut a raison de dire que l’équipe de France est essentiellement composée de footballeurs de couleur… On peut en revanche avoir un doute sur le ricanement de l’Europe… Et aucun doute sur la colère de la France… Ils s’appellent Thuram, Karembeu ou trésor, ils sont noirs et ont rêvé d’être bleus… Retour sur cette épopée… C’est en 1931 que le premier joueur de couleur, raoul Diagne, est sélectionné dans l’équipe nationale. Depuis, plus de 60 joueurs d’origine afro-caribéenne ont porté les couleurs de la France. Le film retrace cette histoire à travers des témoignages exclusifs et des archives inédites. Réalisation : Morad Aït-Habbouche et Pascal Blanchard 25 août 1973, à Marseille, le meurtre d’un conducteur de bus par un immigré algérien fait les titres des quotidiens. L’éditorial de Gabriel Domenech dans « le Méridional » met le feu aux poudres en appelant à la vengeance. Pendant plusieurs mois, des meurtres vont être commis dans tout le sud de la France. Une seule et même cible : des Arabes… Cette chasse à l’homme atteint son paroxysme le 12 décembre 1973 avec l’attentat du Consulat algérien. Bilan de cet été meurtrier : 50 victimes. Cela fait plus de 30 ans que ces évènements ont eu lieu. Qui s’en souvient ? Aujourd’hui, après plusieurs années d’attente, les archives judiciaires sont enfin ouvertes. Car ces exactions que l’on a longtemps oubliées peuvent être considérées comme une date qui marque une nouvelle ère politique et sociale : le racisme anti-arabe apparaît, l’engagement des immigrés dans la défense de leurs droits aussi. La première loi antiraciste est même votée en 1972 mais visiblement, ni les politiques, ni les Français encore sous le coup de la décolonisation, sont capables de réagir face à ce déchaînement de violence. Le réalisateur, Morad Aït-Habbouche est revenu sur les lieux pour mener de nouveau l’enquête et tenter de comprendre comment les agresseurs ont pu agir en toute impunité. Un long travail de recherche pour aboutir aux témoignages exceptionnels de familles de victimes, anciens policiers, ou d’hommes politiques. Réalisation : Morad Aït-Habbouche Nous sommes le 11 juillet 2006. C’est la commémoration du massacre de Srebrenica. Des femmes pleurent. Devant elles, défilent des cercueils verts qui contiennent les restes de leur mari, de leur fils ou de leur père. Jean-René Ruez se tient à l’écart de cette cérémonie. Ce jeune commissaire français est ému. C’est la première fois qu’il assiste à cette cérémonie alors qu’il travaille depuis des années sur ce qui reste le plus grand massacre de civils en Europe depuis la seconde guerre mondiale… Rien ne le prédestinait à mener cette enquête. En 1995, alors que ses camarades de promotion se battent pour leur avancement, il part seul dans un pays en guerre, détaché auprès des Nations-Unies. C’est en découvrant les premières preuves des exécutions massives d’hommes qu’il s’investit totalement dans cette enquête, dans cette quête.. Souvent escorté et protégé par l’armée américaine, il va chercher de manière systématique, presque maniaque comment ces milliers d’hommes ont été tués en quelques jours. Un vrai travail de titan : il utilise toutes les techniques d’investigation qu’il a apprises en France pour que l’on ne puisse pas remettre en cause ses conclusions… En 2001, Jean-René Ruez a terminé son travail « d’honnête homme » : Krstic a été condamné à 46 ans de prison, Mladic et Karazic sont recherchés pour crime contre l’humanité. Mais il ne peut pas encore tourner la page… Il est devenu la mémoire vivante de ce dossier. Aujourd’hui encore, il témoigne au Tribunal de La Haye. Un document exceptionnel… Réalisation : Thomas Raguet C’est l’histoire d’un enfant, dans les montagnes de Kabylie qui, aujourd’hui, est devenu un « ponte », un professeur de cardiologie, reconnu mondialement. C’est la vie de Mohammed, d’origine tunisienne, arrivé en France à l’âge de 18 ans, qui réclame pour ses enfants le droit à l’indifférence… Salem Kacet est un chef de clinique à Lille, affable et souriant. Ce fils d’ouvriers algériens analphabètes est arrivé à l’age de 14 ans en France. Il est l’exemple criant que le creuset intégrationniste français n’est pas un vain mot pour des milliers de nos concitoyens. Aujourd’hui, il cherche l’équilibre entre ses activités associatives militantes en faveur des jeunes issus de l’immigration et son statut de « notable », un équilibre entre la culture musulmane et la laïcité, la France et ses origines. Mohammed Ghannem met sa blouse blanche fièrement. Il dit d’elle : « c’est mon passeport ! »… Quand il a sa blouse de médecin, Mr Ghannem est un médecin. Lorsqu’il est dans la rue sans blouse, il devient un maghrébin comme un autre avec son lot de discriminations… Le Dr Ghannem aime pourtant à rappeler que l’hôpital est une vraie mosaïque de nationalités… Des Turcs, des Pakistanais, des Marocains… Les médecins d’origine étrangère représentent plus d’un quart des médecins des hôpitaux en France… Réalisation : Morad Aït-Habbouche PRODUCTION 2012
Achetez malin, achetez européen
Synopsis :
Fiche technique :
Diffuseurs : France 5, avec le soutien du CNC
Durée : 52 minutes
Diffusion : Février 2012Le teaser :
Photos :
Dans les puces de Saint-Ouen
Synopsis :
Fiche technique :
Diffuseurs : France 5, avec le soutien du CNC
Durée : 52 minutes
Diffusion : Novembre 2012Le teaser :
Photos :
Faut pas rêver : Equateur
Synopsis :
Fiche technique :
Diffuseurs : France 3 – Emission « Faut pas rêver »
Durée : L’autre pays des roses – 12’ / Los Chagras, cowboys des Andes – 13’ / Vulcania en Equateur – 12’ / Cochons d’Inde, mets d’Equateur – 12’
Diffusion : Novembre 2012Photos :
Faut pas rêver : Argentine
Synopsis :
Fiche technique :
Diffuseurs : France 3 – Emission « Faut pas rêver »
Durée : L’école du cri – 7’ / Le train des nuages – 14’
Diffusion : Septembre 2012Photos :
Le Baobab, l’arbre aux mille surprises
Synopsis :
Fiche technique :
Diffuseurs : France Ô, Planète + Thalassa, avec le soutien du CNC et du Cirad
Durée : 52 minutes
Diffusion : Février 2012Photos :
PRODUCTION 2011
Ali, l’enfant martyr de Bagdad
Synopsis :
Fiche technique :
Diffuseurs : avec le soutien du CNC
Durée : 30 minutes
Diffusion : ProchainementPhotos :
Faut pas rêver : Madagascar
Synopsis :
Fiche technique :
Diffuseurs : France 3 – Emission « Faut pas rêver »
Durée : Sur les traces de l’arbre aux milles surprises – 16’ / Les Mikéas, petits hommes de la forêt – 15’ / Le tromba, un culte de possesion – 11’
Diffusion : Novembre 2011Photos :
Faut pas rêver : Philippines
Synopsis :
Fiche technique :
Diffuseurs : France 3 – Emission « Faut pas rêver »
Durée : Une école dans un pousse pousse – 13’ /Coupeurs de têtes de la Cordillière – 11’
Diffusion : Août 2011Photos :
On ira tous au paradis … fiscal
Synopsis :
Fiche technique :
Diffuseurs : France 5, avec le soutien du CNC
Durée : 52 minutes
Diffusion : Septembre 2011Photos :
Pompiers : Brigades insolites
Synopsis :
incendie des parisiens. Deux mois plus tard, un décret impérial institue un corps d’ « hommes du feu ». Ils ont le statut de militaires, seules personnes en qui l’empereur avait vraiment confiance.
Du coup, l’adjudant connaît les sous sol de Paris comme sa poche, les dizaines de kilomètres de galeries, les anciennes carrières, les salles de repos des mineurs… toute une époque qui permit à Hausmann de redessiner la capitale.Fiche technique :
Diffuseurs : France 5, avec le soutien du CNC
Durée : 52 minutes
Diffusion : Octobre 2011Photos :
Thalassa : Mozambique
Synopsis :
Fiche technique :
Diffuseurs : France 3 – Emission « Thalassa »
Durée : Yorick Houdayer, l’architecte des deux mondes – 17 minutes
Diffusion : Novembre 2011Photos :
PRODUCTION 2010
Esprit de collections
Synopsis :
Fiche technique :
Diffuseurs : France 5, avec le soutien du CNC
Durée : 52 minutes
Diffusion : Janvier 2010Photos :
Guy Wenborne ou les yeux du chili
Synopsis :
Fiche technique :
Diffuseurs : France 3 et Planète +, avec le soutien du CNC
Durée : 52 minutes
Diffusion : Août 2010Photos :
Papa Néandertal ?
Synopsis :
Fiche technique :
Diffuseurs : France 3, avec le soutien du CNC
Durée : 65 minutes
Diffusion : Septembre 2010Le teaser :
Photos :
Patrick Dils : La suite
Synopsis :
Fiche technique :
Diffuseurs : France 2 – Emission « Envoyé Spécial la suite »
Durée : 31 minutes
Diffusion : Mars 2010Photos :
PRODUCTION 2009
Un enfant si je peux
Synopsis :
Fiche technique :
Diffuseurs : France 3, avec le soutien du CNC
Durée : 109 minutes
Diffusion : Avril 2009Photos :
PRODUCTION 2008
Pèlerinage, un business éternel
Synopsis :
Fiche technique :
Diffuseurs : France 5 et Planète, avec le soutien du CNC, de l’Acsé et de la Région Aquitaine
Durée : 52 minutes
Diffusion : Novembre 2008Photos :
PRODUCTION 2007
Des noirs en couleur
Synopsis :
Fiche technique :
Diffuseurs : Canal + et RFO, avec le soutien du CNC, de l’Acsé et de la Région Guadeloupe
Durée : 73 minutes
Diffusion : Décembre 2007Photos :
Marseille 73, la ratonnade oubliée
Synopsis :
Fiche technique :
Diffuseurs : Canal + et Planète, avec le soutien du CNC, de l’Acsé et de la Région Aquitaine
Durée : 52 minutes
Diffusion : Janvier 2007Photos :
Srebrenica, plus jamais ça !
Synopsis :
Fiche technique :
Diffuseurs : France 5, avec le soutien du CNC
Durée : 85 minutes
Diffusion : Novembre 2007Le teaser :
Photos :
PRODUCTION 2006
Des hommes de coeur
Synopsis :
Fiche technique :
Diffuseurs : France 3, avec le soutien du CNC, du Fasild
Durée : 52 minutes
Diffusion : Mai 2006Photos :